Cinéma, littérature, dress code et pop culture, on retrouve l’univers steampunk dans une multitude d’œuvres depuis le début du 20e siècle. D’origine européenne, il séduit en Asie pour devenir de plus en plus présent dans la culture nippone. A quoi ressemble-t-il ? Comment se caractérise-t-il au pays du soleil levant ? Partons à la découverte de ce genre rétro-futuriste qui fascine depuis des générations.
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La première apparition du kimono japonais remonte au 7è siècle, pendant que le Japon était encore sous l’emprise chinoise. Le kimono était alors appelé kosode. Il était un sous-vêtement porté sous une longue jupe, un pantalon ou une veste.
Depuis plusieurs années, la mode du kigurumi n’est plus un secret de polichinelle. Son origine remonte aux années 90 au Japon, plus récent mais même pays d’origine que le kimono. En effet, certains jeunes ont voulu se démarquer en s’offrant un accoutrement fantaisiste pour circuler dans les rues. Leur but était de ressembler à leurs personnages préférés des dessins animés. Cette mode est devenue rapidement célèbre et a inspiré certains artistes de la musique moderne qui ont commencé à la porter.
Si la mode désigne une manière particulière de s’habiller, elle est cependant différente d’une société à une autre. En effet, dans certains pays de l’Asie de l’Est comme le Japon, la mode revêt une importance particulière. Cette particularité est justifiée par la multitude de styles vestimentaires que l’on peut y rencontrer.
Les déguisements ou accoutrements pour enfants attirent de plus en plus l’attention un peu partout dans le monde. Au nombre de ceux-ci, les plus remarquables sont ceux des collections dites kigurumi. Elles sont multiples et diverses en tenant compte des préférences animales de chaque personne.